Je tiens à saluer le choix qu’ont fait les sénateurs boliviens de porter à la présidence de leur assemblée Mme Ana María Romero de Campero.
Alors que la Bolivie vient de se doter, avec le referendum de janvier 2009, d’une nouvelle constitution qui ouvre de nouvelles perspectives à la démocratie bolivienne, je vois un signe très encourageant dans l’élection de cette femme courageuse et décidée dont le parcours, comme journaliste, comme défenseur du peuple et comme responsable politique, témoigne de son engagement constant en faveur de la démocratie et des droits humains.