Je suis intervenue, le 14 avril, en séance pour expliquer ma position de vote ainsi que celle de certains collègues de l’Union Centriste, sur le texte « Immigration, intégration et nationalité ».

Notre groupe a toujours exprimé clairement son opposition à la déchéance de nationalité. L’abandon de cette mesure par l’Assemblée nationale montre que nos arguments ont été entendus. De la même manière, nous avons repoussé  les modifications relatives au droit du sol qui semblaient  inopportunes et injustifiées : elles remettaient en cause sans raison valable un principe majeur de notre droit de la nationalité.

Pour autant, malgré les réelles avancées obtenues par notre haute assemblée, le respect de la vie et de la dignité humaine, est mis à mal par l’article 17 ter  qui traite du droit de séjour des étrangers malades. C’est pourquoi, j’ai choisi de m’abstenir sur ce texte.

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Vous pouvez également consulter l’article publié sur Rue 89 sur le sujet.