Nous avons entamé hier, au Sénat la seconde lecture du projet de loi relatif à « l’immigration, l’intégration et la nationalité ».
La discussion générale a été l’occasion de rappeler l’opposition totale de tous les sénateurs de l’Union centriste, à toute atteinte au droit du sol. En effet, cette disposition injuste et injustifiée remet en question une modification touchant au droit du sol dont l’instauration remonte à la fin du XIXe siècle et qui fait l’objet d’un consensus républicain depuis bien longtemps.
C’est pourquoi, j’ai voté contre l’amendement déposé par le Gouvernement portant sur les dispositions relatives à l’acquisition de la nationalité française par les jeunes nés en France de parents étrangers.